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     Ceci est une fiction, Il viens de mon imagination. 

     

     

     

                   CHAPITRE 1 : Le début du weekend.      

     

                             Je m’appelle Alexia, j’ai 34 ans, je suis brune, cheveux longs. Je mesure 1m75, Je suis athlétique. Je travaille en tant de secrétaire de direction, dans une grande entreprise. Je suis mariée. J’ai un enfant. Je suis soumise à Maître Stéphane depuis 15 ans.  

    Il est grand, costaud. Il est très intimidant. Il peut être très gentil comme très sévère. Il est marié, sans enfant. Il travaille en tant que journaliste. Il a 45 ans.

    Nous nous sommes rencontrés lors d’un mariage d’un ami en commun. Nous avons fait connaissance. Il était déjà autoritaire envers moi. Il m’avait donné son numéro de téléphone, je lui ai donné le miens, aussi. Nous nous sommes revus quelques jours plus tard. Notre relation bdsm a commencé ce jour.

                  Ce soir, à 22heures, je suis devant mon ordinateur, en attendant le mail de mon Maître. Je le reçois me demandant si j’ai des choses à faire ce weekend.

    Je lui réponds : Je serai libre car mon mari part avec notre fille chez sa sœur. Ils doivent rentrer dimanche soir.

    Alors, je veux qu’à partir de demain matin, tu ne mettras pas de culotte. Prépare-toi un petit sac. Tu prends le strict minimum. Je passerai te prendre vers 19 heures, à ton travail.

      

    Le lendemain, je suis toute émoustillée en pensant à mon Maître, je l’aurai pour tout un weekend. Mon travail s’en ressent. Je regarde sans cesse ma montre, mais les heures passent trop lentement. Je suis trop impatiente. 

    Vers 19 heures, je suis prête, je l’attends en bas des marches de l’entreprise, avec un petit sac. J’entends l’arrivée d’une voiture, c’est lui. Il m’ouvre la portière. Je m’assoie sur le siège. Il m’embrasse sur la bouche tendrement. Il me dit qu’il a loué une maison isolée à une heure d’ici. Il me demande de lui donner mon téléphone portable, il me le rendra à la fin de weekend. Il démarre, après quelques minutes de route, il m’ordonne de déboutonner mon chemisier et de lever ma jupe. Mes fesses se retrouvent en contact avec le cuir. C’est froid, ça me donne des frissons. 

    -      Alors ma pute, j’espère qu’elle va bien, car nous allons passer quelques jours ensemble ?

    -      Oui Maître, tout va bien.

    -      Je t’ai préparé des surprises. Ouvre la boite à gants, prends ton collier et mets- le, ainsi que ta laisse.

     

    Nous roulons depuis plus de trente minutes, quand il arrête la voiture à l’orée de la forêt. Il descend et prends dans la poche de sa veste une paire de menotte. Il s’approche de ma portière, il ouvre et me tire par la laisse pour descendre du véhicule. Il me fait mettre à genoux, me passe les menottes derrière le dos. Il descend sa fermeture éclair de son pantalon, tout en étant tenu en laisse. J’ai compris que je vais devoir le sucer. Son sexe commence à grossir, je l’ai en pleine bouche. Il me fait des gorges profondes. Ma respiration commence à s’accélérer. Soudain, il s’arrête.

     

    -      Alors ma putain, tu aimes ça ?

    -      Oui Maître.

    -      Tu en veux encore ?

    -      Oui Maître.

    -      Ça sera pour plus tard.

     

    Il remonte son pantalon tant dis que je reste à genoux. Il sort de la poche un bâillon boule. Il me le met dans ma bouche. Il m’ordonne de me lever et de lui montrer mes fesses. Il soulève ma jupe. Je ressens un objet en métal à l’entrée de mon cul. Il le fait rentrer brutalement, ça me déchire une douleur, je commence à pleurer. Il s’en aperçoit, alors je reçois une bonne fessée. Mon postérieure commençait à chauffer. Nous remontons dans sa voiture, il me remet la ceinture de sécurité, nous repartons.                                                                                                            J’ai honte car je l’ai offensé. Il n’aime pas que sa soumise pleure ou désobéi à ses ordres. Je sais très bien que je méritais cette punition. 

    Nous arrivons après quelques kilomètres de route sinueuse. Il me traine par la laisse jusqu’à la porte de la maison. Il l’attache aux barreaux de la fenêtre pendant qu’il va chercher les sacs dans son coffre.

    Il ouvre la porte et me fait rentrer. 

    -      Maintenant, tu es à moi pendant tout le weekend. Je fais de toi, ce que je veux. Si tu ne fais pas les choses comme je veux, tu seras sévèrement punie. Tu n’as plus le droit de parler sans ma permission.  

    En me disant cela, il m’enlève les menottes et le bâillon. Le rosebud commence à me gêner. Je ne dis rien. 

    -      Oui Maître.

    -      Déshabilles-toi, tu resteras à poil pour le weekend. 

    -      Oui Maître

    -      Fais-moi, à manger, me dit-il sur un ton autoritaire.

     

    Je prépare le repas, je sens mon Maître derrière moi, il me pince les tétons, il me claque les fesses. Je commence à mettre les couverts sur la table.

     

    -      Non, tu mangeras par terre comme une chienne, à mes pieds.

    -      Oui Maître.

    -      Je t’ai emmené une gamelle, va la chercher dans mon sac, mais ne fouilles pas, je te regarde.

     

    Je reviens dans la cuisine. Je sers l’assiette de mon Maître, et les restes, je les mets dans ma gamelle. Mon Maître se met à table et moi, je suis à quatre pattes aux pieds de mon Maître. Il me tient en laisse pour manger. 

    -      Humm…, c’est bon. Ma soumise fait bien à manger. 

    -      Merci Maître.

    Après avoir fini de manger, j’attends l’ordre de mon Maître pour me lever. Les genoux commencent à me faire mal. Il voit que je grimace. Il m’ordonne de me lever et de faire la vaisselle. 

    Il va s’affaler dans le canapé, il s’assoupi quelques minutes. 

    Après avoir fait la vaisselle, je me mets à ses pieds comme une bonne soumise. Il m’entend, ça le réveille. 

    -      Tu es une bonne chienne. Tournes-toi, je vais t’enlever ton rosebud. Tu as le cul bien ouvert, J’aime bien quand il est bien dilaté. 

    Il se lève pour aller chercher son sac. Il le pose sur la table et en ressort des pinces. Il se met derrière moi, les bras sont joints dans le dos. Je sens qu’il me met des bracelets en cuir, aux poignets et chevilles et les pinces sur les tétons. Je ressens une forte douleur. Il serre de plus en plus. Je pousse un cri dans mon bâillon. Mais rien y fait. 

    Il m’attache à une grande table en bois avec des cordes. Il prend la cravache, il me donne des coups sur le sexe et les seins. La douleur est très intense, je me mets à gigoter dans tous les sens. Les coups sont de plus en plus rudes. J’essaye de lui dire d’arrêter, mais je ne peux pas parler à cause du bâillon. Après quelques coups, il s’arrête. Il enlève son pantalon et il m’enfonce sa bite dans ma chatte. Il va tout doucement au début mais il me dit qu’il m’est interdit de jouir. Je me retiens jusqu’au moment j’en peux plus, je jouie. Il s’arrête et se retire de ma chatte. Il me détache. Je le vois qu’il est en colère. Il m’attrape par les cheveux. Il m’emmène dehors. Je n’avais pas vu en rentrant, il y a une cage à côté de la maison.

    -      Comme, tu as joui, tu es punie. Tu vas rester, toute la nuit, dans la cage.

    Avant de rentrer dans la cage, il m’attache les mains derrière le dos et les chevilles entre elles. Je rentre dans la cage, je m’aperçois que mes mouvements sont très limités. Elle est étroite et petite. Je dois rester à quatre pattes. Il referme la porte de la cage avec un cadenas. Il me remet le rosebud et me place dans mon vagin, un œuf vibrant. Avant de partir, il retire les pinces et mets en marche l’œuf. 

    -      Bonne nuit ma chienne. J’espère que tu vas bien dormir car demain, je te réserve de sacrées surprises. Je viendrais te délivrer quand j’en aurai envie.

     

     

                   CHAPITRE 2 : Le samedi des surprises

     La nuit ne fût pas facile pour dormir. L’œuf n’a pas cessé de vibrer. Au lever du soleil, des jeunes hommes se promènent dans les bois quand ils m’ont vu dans la cage, ils ont quitté leur chemin pour venir me voir. Je n’osais pas les regarder. Mes joues étaient rouges écarlates. Ils se sont approchés de moi. J’étais dans une position où je ne pouvais rien faire. Mon bâillon a été retiré pour que je leur fasse des fellations. Avant de repartir, ils me remettent le bâillon. 

    Mon Maître me vient chercher en me demandant si j’avais passé une bonne nuit. Il me retire le bâillon.

    -      Non Maître, je n’ai pas dormi. J’ai été dérangé par deux jeunes hommes. 

    -      Qu’est-ce qu’ils voulaient ? 

    -      Ils m’ont demandé de les sucer.

    -      Qu’as-tu fait, alors ?

    -      Je les ai sucés.

    -      C’est bien car c’était une autre surprise. Ils l’ont fait avec mon accord.                           

    -      Maître, je me suis sentie très humiliée. 

    -      C’était le but. 

    Il m’emmène à l’intérieure de la maison. Il m’enlève tous les accessoires. Je lui prépare son petit déjeuner et je prends seulement un café. Je dois lui préparer ses affaires avant, qu’il va prendre sa douche. 

    En attendant d’avoir la salle de bain, je commence le ménage. Je suis fatiguée. Je n’arrive pas à émerger car je n’ai très peu dormi. 

    Mon Maître me demande d’aller le rejoindre dans la salle de bain.  J’enlève mon collier pour éviter de l’abîmer.                                           

    -      Pour te récompenser de ton attitude envers mes amis, je te demande de venir me rejoindre sous la douche.

    Je ne me fais pas prier pour aller me laver avec mon Maître. Je suis très contente. Il m’embrasse sur la bouche. 

    En sortant de la salle de bain, il me prépare mes vêtements pour sortir. Je dois lui faire honneur. Dès que je rentre dans la chambre, je vois sur le lit, une mini-jupe noire, un chemisier blanc transparent et une porte jarretelle noire avec des bas résilles. Je ne l’ai pas vu arriver derrière moi, il me demande :

    -      Ça te plait ta tenue ?

    -      Oui Maître, on dirait une pute.

    -      Mais tu es une putain, n’est-ce pas ?

    -      Oui Maître.

    -      N’oublie pas de te maquiller comme telle.

    -      Oui Maître.

    Je m’habille avec boule au ventre, c’est très dégradant pour moi mais je le fais pour mon Maître. Il m’interpelle avant de sortir de la chambre.

    -      Attends, tu as oublié de mettre quelque chose.

    Je regarde sur lit, je ne trouve rien. Je suis perplexe. Il fouille dans son grand sac. Il sort un grand objet sous plastique. Je m’interroge. Il me bande les yeux. Il me dit que je vais l’aimer. Il le sort du plastique. Il me demande de soulever ma jupe. 

    -      Ecarte les jambes. Je te le mets, ça risque d’être un peu froid.

    Avant, il me fait lubrifier, avec ma salive, les deux godes pour me les introduire. J’ai un sursaut quand ils pénètrent dans mes trous. Je sens qu’il me met une ceinture. J’entends un clic de cadenas. Il m’enlève le bandeau des yeux. Je regarde, je suis très surprise. C’est la première fois que je porte un tel engin. Il met la clé du cadenas dans sa poche. Je remets ma jupe correctement.

    -      Tu la porteras toute la journée. Quand, tu auras envie d’aller aux toilettes, tu me demanderas la permission et je viendrais avec toi. Comme ça, tu ne pourras pas de te toucher pour te satisfaire. 

    Il me remet mon collier autour du cou. Je me maquille et mets les escarpins noirs pour sortir. 

    A 10 heures, nous partons en voiture. Après quelques minutes de route, nous nous arrêtons, dans un petit village, pour aller boire un café. Il me dit que je devrais écarter les cuisses pour que les personnes voient ce que je porte. 

    -      Pourquoi tes joues sont rouges ? Me demanda-t-il.

    -      Les personnes me regardent sans arrêt, je suis épiée. 

    -      Moi non, ça ne me dérange pas, au contraire, je suis content d’être avec toi.

    Nous reprenons la route après cet arrêt. Les godes commencent à me gêner, je me tortille dans la voiture. Il me demande d’arrêter de bouger. 

    Nous arrivons dans une petite ville, après une bonne cinquantaine de kilomètres. Nous descendons du véhicule. Nous marchons en nous donnant la main comme un couple légitime. Nous visitons la charmante ville. Les passants posent leur regard sur moi. J’entends des chuchotements, des rires. 

    -      Tu vois l’effet que tu fais aux personnes ?              

    Je ne lui réponds pas. Je suis très timide mais je suis fière d’être avec mon Maître.

     

    Nous regardons les menus des restaurants car il est l’heure d’aller manger. Nous nous arrêtons dans un petit restaurant. Je demande à mon Maître d’aller aux toilettes. Il m’accompagne. Il l’enlève la ceinture. Je rentre dans les toilettes mais je dois laisser la porte ouverte. Il me regarde. Après avoir fait la commission, il me remet la ceinture mais sans lubrifiant pour les godes. Je pousse un petit cri. Nous remontons à notre table en remerciant mon Maître.

    Pendant le repas, il me dit que j’aurai une autre surprise. Je suis totalement étonnée. Le repas fût bon. 

    Après avoir mangé, nous repartons se balader à pieds. Je suis étonnée car il connait très bien la ville. Je pense que ce n’est pas la première fois qui vient ici. Il connait les rues par cœur. Je le suis comme une vraie petite chienne. Nous tournons dans une rue et j’aperçois, au loin, une enseigne d’un sex-shop. Nous avançons vers le magasin. Mon Maître pousse la porte. Nous rentrons. 

    Mon Maître se dirige vers la vendeuse. Il lui fait une bise, la tutoie. 

    -      Salut, comment va tu ? Demande la vendeuse à mon Maître.

    -      Salut, ça va.

    -      Tu viens pour ta soumise, Stéphane ?

    -      Oui, car je veux lui changer son collier, dit-il.

    Il me fait un geste du doigt. Je me rapproche de mon Maître pour dire un bonjour à la vendeuse.

    -      Bonjour Madame.

    -      Bonjour ….. ?

    -      Alexia, dit mon Maître à la vendeuse.

    -      Bonjour Alexia. Comment vas-tu ?

    -      Ça va bien. 

    -      Tu as une sacrée pute, dit-elle à mon Maître

    -      Oh oui.

    -      As-tu des nouveaux colliers pour ma soumise ?

    -      Oui, je vais te les montrer.

    Nous nous dirigeons vers le rayon des colliers. Il y en a beaucoup, des beaux comme des moches.

    -      Je cherche un collier pour qu’elle ne puisse pas l’enlever sans moi.

    -      D’accord, je vois.

         -   Un collier avec un cadenas ou avec un système de fermeture à code ?

    -      Un collier à code, c’est mieux pour moi.

    Je me demande comment je vais faire avec mon patron s’il m’interpelle sur le collier. Je reste à l’écart de mon Maître et de la vendeuse car j’ai honte. 

    Elle lui montre un joli collier en métal. Il est léger. 

    -      Viens ici pour essayer le collier, ma soumise, me dit-t-il. 

    Je m’approche timidement. Il m’enlève mon collier pour l’essayer l’autre. Il me le mets tout en le fermant.

    -      Il te va bien, je trouve, me dit, mon Maître.

    -      Oui mon Maître.

    -      Elle est très docile, dit la vendeuse à mon Maître.

    -      Oh oui, ça était un peu dur au début, mais maintenant ça va mieux.

    -      A partir de maintenant, tu le garderas au cou.

    -      Oui Maître.

    -      Pour se laver, ça ne pose pas de problème, demande-t-il à la vendeuse.

    -      Non, pas de problème, c’est un métal antioxydant.

    Nous retournons en caisse. Mon Maître me demande de l’attendre dehors car il ne veut pas que je sache le code du collier.             Cinq minutes après, je le vois sortir du sex-shop. 

    -      Il te plait ton nouveau collier ? me dit-il.

    -      Oui Maître, merci. Mais, comment fais-je pour aller au travail avec le collier ? Que va dire mon mari ?

    -      Ce n’est pas mon problème, me dit-il sèchement.  Tu lui raconteras ceque tu veux.

    Nous reprenons la voiture. Nous commençons à rouler quand mon Maître m’engueule. 

    -      Tu n’as rien oublié en partant du sex-shop ?

    -      Non, Maître, je ne pense pas.

    -      Tu n’as pas dit « au revoir » à la vendeuse.

    -      C’est vrai mon Maître.

    -      Alors, tu seras punie durement. 

    -      Je m’en excuse, Maître.

    -      La bêtise a été faite, tant pis pour toi.

     

    Je ne dis plus rien dans la voiture. Je me pose d’énormes questions sur la punition. Car, ce n’est pas la première fois et la dernière qu’il me punisse 

    Nous arrivons dans la maison. Il me retire la ceinture.

              - Tu as mouillé, constate mon Maître.

    -      Oui Maître.

    -      Tu avais le droit ?

    -      Non, Maître.

    -      Je ne peux pas te faire confiance, je vois.

    -      Si Maître.

     Elle reçoit une paire de gifles sans broncher. Elle a les marques des doigts, de son Maître, sur son visage, comme des empreintes.  

    Une fois à poil, il la tire par les cheveux en se dirigeant derrière la maison. Il l’attache à un arbre. Il la bâillonne et lui met le bandeau. Il la laisse un petit moment et revient avec son sac. Il lui dit que le mot d’urgence n’existe pas pour les punitions. Elle entend un sifflement d’un fouet. Le premier coup la fait sursauter. Il va de plus en plus fort et de plus en plus vite. Les marques sont très importantes. Tout son dos est zébré de marques rouges ensanglantées. Après une cinquantaine de coups, il s’arrête. Il s’approche d’elle et lui caresse les joues pour essuyer ses larmes. Elle est en sanglots. 

    -      Tu vas rester un moment comme ça. Tu réfléchiras à ta connerie car tu m’as fait honte devant la vendeuse.

    Vers 18 heures, j’entends mon Maître venant me détacher. Je lui transmets mes excuses en m’agenouillant à ses pieds et en les embrassant. Mon Maître me soutient, par le bras, pour rentrer dans la maison. Je bois un verre d’eau. Je me dirige dans la salle de bain pour prendre une douche. Mon Maître vient pour me calmer et pour me passer une crème cicatrisante sur mon dos. J’hurle de douleur. Il me rassure en m’embrassant sur la bouche. 

    Je dois lui préparer l’apéritif avant que je cuisine.

    -      Tu prépares à manger pour quatre car j’ai invité des amis à venir ce soir.

    Je tourne la tête, je le regarde fixement. 

    -      Vous ne m’avez pas prévenu que vos amis venaient ce soir ? Dit-elle.

    -      Non, pourquoi, ça te dérange ?

    -      Non, Maître.

    -      Je veux dès que tu entends frapper à la porte, que tu sois à genoux, les mains sur la tête, à côté de la porte d’entrée.

    -      Oui Maître.

    -      Tu mettras et tu serviras l’apéritif quand ils seront là. Pour ce soir, tu dineras à table, exceptionnellement. 

    -      Merci Maître.

    -      Tu as intérêts à faire plaisir à mes amis. Tu fais ce que nous te demanderons, car ce sont des amis d’enfance. Si tu désobéis, tu seras, encore, puni plus durement. 

    -      Oui Maître. J’écouterai bien.

     

    Vers 20 heures 30, j’entends frapper à la porte. Je me mets en position. Mon Maître ouvre la porte. Ils se font des bises en s’enlaçant dans les bras. Je reconnais les deux hommes. Ce sont eux que j’ai vu ce matin quand j’étais dans la cage. Ils ne me calculent pas. Ils s’assoient sur le canapé. Mon Maître me demande de venir à ses pieds.

    -      Je vous présente ma pute, Alexia. Les marques sur le dos, c’est une punition de cet après-midi, dit mon Maître.

    -      Je te présente mes amis, le petit s’appelle Monsieur W et le grand, c’est Monsieur L.

    -      Elle a fait quoi pour être punie? Demande un de ses amis.

    -      Elle a été impolie envers une vendeuse. 

    Mon Maître leurs explique de ma bêtise. Je me sens honteuse. 

    Je commence à servir l’apéritif à mon Maître et à ses amis. Je lui demande si je pouvais les accompagner pour en boire un. Il me donne son autorisation. Pendant l’apéro, les amis de mon Maître s’amusent à me torturer, sous son œil bien vaillant. Le premier me pince, tire, tord mes tétons, pendant que le deuxième s’amuse avec mon clito et mes lèvres. Je cri, je hurle de plaisir, mes mouvements sont saccadés. Ma main percute le verre de mon Maître. Il se renverse par terre. Le jeu est arrêté immédiatement. Il est en colère. 

    -      Allez, lape jusqu’à qu’il n’en reste plus, salope.

    Après avoir léché le sol, je reçois une paire de gifles de la part de mon Maître.

    -      Comme tu as fauté, je te réserve quelque chose pour le diner, me dit-il.

    -  J’espère que le diner est prêt ?

    -      Oui Maître, 

    -      Passons à table.

    Mon Maître, au lieu de se diriger vers la table, il va dans la chambre. Pendant ce temps-là, je prépare la table. Il revient quelque minute après avec des objets. Il pose un gode sur ma chaise à l’aide d’une ventouse. Il me le fait lécher pour le lubrifié. Je m’empale dessus avec délicatesse. Je commence à faire des vas et viens mais mon Maître me dit de stopper. Ensuite, mon Maître passe derrière moi pour me menotter les poignets derrière le dos. 

    -      Voilà, maintenant tu peux manger avec nous. Tu croyais que tu allais manger comme nous ?

    -      Non, mon Maître.

    -      Je vais te servir à manger dans ta gamelle. Tu resteras à table tant que je ne t’ai pas dit de te lever.

    -      Oui Maître.

    Les amis ricanent de ma position pour manger. Ils se moquent de moi. J’ai de la nourriture plein le visage. 

    Pendant le repas, ils ne m’ont pas adressé la parole.

    A la fin du repas, mon Maître m’enlève les menottes et je me retire du gode. Je débarrasse la table et je fais la vaisselle. 

    Après avoir nettoyé la vaisselle, je reviens aux pieds de mon Maître. 

    -      Tu as tout fini, Alexia ? Me demande-t-il.

    -      Oui, j’ai tout fini, mon Maître

    Il se tourne vers ses amis en disant

    -      Maintenant, elle est à vous. Vous faites ce que vous voulez de ma soumise, vous avez carte blanche. 

    Aussitôt dit, aussitôt fait, Monsieur W commence à me poser des pinces sur mes petites et grandes lèvres avec des poids. Pendant ce temps-là, mon Maître film avec son caméscope, avec mon accord. Monsieur L se met derrière moi pour me caresser le corps. Je sens qu’on m’enlève les pinces, au bout de quelques minutes. Je gémis. 

    Mon Maître me demande de me mettre à genou, devant eux, les mains derrière le dos. Je reçois des coups de cravache sur les seins. Ils changent de couleur, Pendant que Monsieur L me donne des coups de martinet sur les fesses. Après avoir reçu les coups, mon Maître me met la laisse au collier. 

    -      Maintenant, nous allons dans la chambre.

    Je me lève pour les suivre.

    -      Non, tu restes à quatre pattes, il me dit cela en me mettant une bonne fessée sur mon postérieur. 

    Il tire sur la laisse pour me faire avancer plus rapidement pendant que Monsieur L me cravache les fesses. 

    Nous arrivons dans la chambre, je m’installe sur le lit, sur la demande de mon Maître, avec les bras et les jambes bien écartés. Ils me mettent des bracelets en cuir pour m’attacher au lit. Je ne puis pas bouger. 

    Monsieur W monte sur le lit, il enjambe ma poitrine pour se mettre sur ses genoux. Il déboutonne son jean et sort son sexe. Il l’approche de ma bouche et m’oblige à le sucer. Il fait des vas et viens pendant que mon Maître me pose un vibromasseur au clitoris. Je me tortille d’excitation. Monsieur L prends la caméra de mon Maitre pour faire des gros plans. Il la pose sur un trépied. Il enlève son pantalon, il pose un préservatif sur son sexe. Il se dirige vers moi. Il m’enfonce son sexe dans mon vagin. Une sensation m’envahi le corps. Je suis en extase. Je mouille de plus en plus. Il fait des allers-retours avec son sexe dans mon vagin de plus en plus vite. Mon Maître est aux anges, de me voir « prendre mon pied. » 

    Monsieur W enlève sa bite de ma bouche pour placer un écarteur de bouche. Il l’ouvre au maximum à l’aide d’une clé. Il me fait mal à la conjonction des lèvres. Il rentre à nouveau son sexe dans ma bouche, plus profondément. Ça me donne des hauts de cœur. Mais, ça ne l’arrête pas mais au contraire, il va de plus en plus vite.                                                                                                 Après une bonne dizaine de minutes, Monsieur L retire le préservatif de son sexe pour me le mettre dans ma bouche. Monsieur W met aussi un autre préservatif. Il rentre en moi d’une force inouïe. Mon Maître est heureux. 

    Il se retire au bout de quelques minutes, il m’enlève l’écarteur de bouche, il me met le deuxième préservatif dans la bouche. Il m’ordonne de mâchouiller. Je reste toujours attacher. 

    Les deux amis se rhabillent, mon Maître les raccompagne jusqu’à la porte d’entrée, en leurs remerciant d’être venus. 

    J’entends la porte se refermant. Il ne vient pas tout de suite dans la chambre. Il me laisse sur le lit. Il allume la télévision. Je n’ose pas l’appeler car j’aurai le droit à une punition. Il déteste d’être dérangé quand il regarde la télé. Au bout d’une heure, il éteint le téléviseur. Je me suis endormie. Il me réveille en me détachant. 

    -      Tu crois que c’est la place d’une soumise de dormir sur le lit du Maître ? Me demande-t-il.

    Je recrache les préservatifs, je lui réponds que non. Alors, je descends du lit, je me mets aux pieds de celui-ci. Mon Maître sort de son sac, une petite chaîne qui s’empresse de me la mettre à la cheville. Elle est reliée au lit. C’est beaucoup mieux de dormir par terre comme ça, qu’au lieu d’être enfermé dans une cage, aux yeux de tout le monde, je pense. Je suis très fatiguée de ma journée. Il est très tard donc je m’endors très vite même si j’ai encore le goût du sperme en bouche.

     

                      CHAPITRE 3 : Le changement. 

     Le réveil fut un peu dur. J’ai des douleurs de partout. Le sol est tellement dur et inconfortable que durant la nuit, je me suis réveillée à plusieurs reprises. Je voulais me lever pour le rejoindre. Mais, je ne pouvais pas, la chaîne était bien trop courte. Mon Maître dormait encore. Le réveil marquait 9 h 30. J’essayais de m’étirer de tout mon long pour prendre la clé du cadenas qu’il se trouve dans la poche de sa veste. J’ai fait plusieurs tentatives infructueuses. 

    Mon Maître se réveille au même moment.

    -      Tu fais quoi ? Me dit-il, sèchement.

    -      Rien, mon Maître. 

    Il se lève pour me détacher. Il m’invite à monter sur le lit. Je sais très bien ce qu’il veut. Il retire le drap du dessus et me demande de lui faire une fellation. Au bout de dix minutes, il éjacule dans ma bouche. Je reste la bouche ouverte en attendant l’ordre de l’avaler. Il me le donne. Je déglutis la semence de mon Maître. Il me demande de me mettre à quatre pattes, sur le lit. Il passe derrière moi. Il rentre son sexe dans mon vagin. Après quelques minutes, il ressort son sexe pour me le mettre dans mon cul. Il entre tranquillement pendant que sa main droite me titille mon clitoris. Il me donne le droit de jouir, pour une fois. Je ne me fais pas attendre, j’hurle, tellement fort de jouissance que mon Maître me place sa main sur ma bouche pour me faire taire. Nous changeons de position. Je me retrouve empaler sur son sexe. Il me tient par les hanches. Il m’enfonce sa bite au plus profond de moi. Je n’en peux plus, mon Maître aussi. Alors, il s’enlève de moi et éjacule à nouveau dans ma bouche. Je le remercie en faisant un baiser sur la paume de sa main. 

    Je me lève pour lui préparer son petit déjeuner. Le dimanche, je dois lui apporter au lit. Je retourne dans la chambre avec un plateau spécial. Il est relié, par l’intermédiaire de petites chaînettes, à des pinces. Mon Maître me place une chaine autour de la taille. Il l’accroche au plateau. Il m’installe les pinces aux tétons ainsi que les chaînettes. Je suis parée pour lui servir de femme-plateau. 

    Je me dirige dans la cuisine pour mettre son petit déjeuner sur le plateau. Fur et à mesure, que je mets des choses dessus, c’est de plus en plus lourd donc ça étire plus les tétons.

    Je reviens dans la chambre. Je me positionne à genoux, devant lui. Les mains dans le dos. Mon Maître m’enfonce sa serviette de table dans ma bouche. Il prend son temps pour déjeuner. Les pinces commencent à me faire mal. Au bout de quelque temps, mon Maître me les retire. Les cris sont étouffés par la serviette. Il l’enlève le plateau. Il me donne le droit d’aller déjeuner pendant qu’il va prendre sa douche.

    Après avoir bu mon café, je range la maison. Je prépare les affaires de mon Maître. 

    Il a terminé dans la salle de bain, je prends sa place. Je sculpte le système de fermeture de mon collier pour voir s’il n’a pas de solution pour le retirer.  Mon Maître s’en aperçoit car je n’ai pas le droit de fermer la porte. Il rentre et me dit :

    -      Je devais de te l’ôter cet après-midi, avant de partir. Comme je t’ai vu en train d’essayer de l’enlever, pour te punir, tu le garderas à ton cou, jusqu’à notre prochaine rencontre. 

    -      Oui Maître, le regarde apeurer. 

    -      Après ta douche, nous allons parler sérieusement.

    -      Oui Maître.

    Après m’être lavée, je rejoins mon Maître dans le salon. Il a posé deux tas de deux feuilles, sur la table. Je m’assoie par terre, il me fait relever pour que je sois à côté de lui, sur le canapé.

    -         Je t’ai fait venir ce weekend, c’est pour que je te demande de signer ton contrat d’esclave, m’annonce-t-il.

     

    Je suis très surpris de sa proposition. Je ne sais pas quoi en dire. Sa signature est déjà sur la dernière page du contrat. 

     

    -  Certaines règles changeront, elles sont inscrites sur le contrat. Tu as pu voir que ce weekend, j’étais plus dur avec toi. 

    -      Oui Maître, tout en lisant le contrat.

    -     Comme, tu as vu le changement de ton collier n’était anodin. 

    -      Puis-je avoir un peu de temps pour y réfléchir, Maître ?

    -      Oui, je ne te force pas la main mais maintenant, ça dure, entre nous, depuis 15 ans. Tu me connais très bien et moi, c’est pareil. 

    J’essaye de le lire très attentivement, au calme. Mais, je ne peux pas, il est toujours en train de parler. C’est une décision à ne pas prendre à la légère. Après une dizaine de minutes, sans parler à mon Maître. Il me tend un stylo. Je sais très bien qu’il a peur que je refuse. Je le prends. Je vois son visage changer. Il commence à sourire. Je mordille le stylo en le regardant, je fais exprès. Il est très impatient. Je prends la première page, je la signe. Il est tout heureux. Il m’embrasse sur la bouche à me décoller les lèvres, tellement qu’il est enthousiaste. Il range les deux contrats dans son attaché-case.

    -      Maintenant que tu as signé le contrat, je voudrais que tu ailles mettre des piercings aux tétons, au clitoris, aux petites et grandes lèvres pour la prochaine fois. Comme ça, je pourrais y poser des poids, me dit-il.

    -      Oui Maître. 

    D’une manière très autoritaire, je ne l’ai jamais vu comme ça, il m’ordonne de lui apporter la laisse, avec les dents. Il me l’accroche, d’un coup sec, à mon collier.  Il est l’heure de l’apéritif. Je vais aller chercher son verre de whisky à quatre pattes avec des amuse-gueule. Je les pose sur la table basse. Il me fait mettre devant lui pour poser ses jambes sur mon dos. Je reste comme ça, une bonne demi-heure. J’en ai des crampes aux bras. Il me claque les fesses, de temps en temps, pour me faire comprendre que je ne dois pas bouger d’un pouce. 

    Après l’apéro, je fais réchauffer les restes, du repas, d’hier soir. Il se met à table. Je le sers et moi, je mets mon repas dans la gamelle. Je m’installe à ses pieds en lui donnant la laisse. 

    A la fin du repas, je me lève avec sa permission. Il me demande à quelle heure dois-je être chez moi ?                       

    -      Mon mari arrive vers 20 heures, je lui réponds.

    -      Donc, cet après-midi, je t’emmènerais chez une personne. Je ne peux pas te le dire maintenant. Nous partirons après que j’aurai préparé tes affaires.

    Je range la cuisine.

     Quand, j’ai terminé la vaisselle, mon Maître me demande d’aller le rejoindre. J’arrive dans la chambre, je m’aperçois qu’il a préparé ma tenue. Il a sorti la ceinture de chasteté. Il me fait lubrifier les godes avec ma bouche. Il me demande de me pencher en avant. Il les introduit dans mes trous et ferme la ceinture, à l’aide des cadenas.

    Je remets la même tenue qu’hier après-midi. Je fini par me maquiller dans la salle de bain. 

    Nous sommes prêts à partir. J’ouvre la porte d’entrée à mon Maître. Je me dirige vers la voiture et je m’installe dans la voiture. Mon Maître me rejoint.  Nous roulons depuis quelques kilomètres quand mon Maître me dit :

    -      Nous allons chez Maître K. Je le connais bien. Il m’a initié dans le bdsm. Regarde dans la boite à gant, prends le bandeau et mets-le sur tes yeux.

    Je le prends et je me l’applique sur les yeux. Je n’y vois plus rien. Je suis totalement aveugle. J’essaye d’imaginer la route. Après un court trajet, la voiture s’arrête. J’entends mon Maître descendre de la voiture. Il ouvre ma portière. Il s’approche de moi pour me mettre la laisse. Je descends et je le suis. 

    Nous faisons quelques pas jusqu’à la maison, du Maître. Il nous attendait. Il ouvre la porte et serre la main à mon Maître. Il me fait une bise de bienvenu. Nous rentrons dans sa salle à manger, mon Maître s’assoie sur le divan et moi, je suis aux pieds de mon Maître. Il sert un verre de jus de fruit, à mon Maître et moi, il m’emmène un bol d’eau. Je lape pour le boire. Les Maîtres discutent ensembles de leur parcours dans le bdsm. La discussion durera une bonne heure. Entre temps, je ne bouge pas, je suis toujours tenu en laisse. Mon Maître me lance des regards froids. Il veut être fier de moi devant son Mentor. 

    Après une bonne discussion, Maître K nous fait visiter son nouveau donjon. Il en est très fier. Son donjon est dans une grande cave. Je regarde attentivement tous les objets de torture, ça me glace le sang, j’en ai des frissons. Chaque objet est bien rangé.

    La visite durera une heure, nous devons repartir. En partant, mon Maître annonce à Maître K qu’il va me prêter à lui pour une longue durée. 

    Maître K nous raccompagne jusqu’à la voiture.

    En arrivant dans notre maison, il m’enlève la ceinture de chasteté. J’en profite pour me changer avec sa permission. Je lui demande de me retirer le collier. Il me répond non.

    -      Comme tu m’agace de poser toujours la même question, je te puni. 

    Il s’assoie sur une chaise, il me fait un signe du doigt voulant dire que je dois me  mettre sur ses genoux. 

    -      Je vais te donner une bonne fessée, tu compteras les coups. Chaque erreur, je reviendrais à zéro. Un…. Deux….. Trois….. Trente.

    Il tape de plus en plus fort. Mes fesses sont bien chaudes et je n’imagine pas la couleur, elles doivent être violettes. Je m’enlève de la position, je me mets à genou par lui demander son pardon. 

    Je prépare le sac de mon Maître et le mien aussi. L’heure du retour s’approche de plus en plus. Il nous reste à peine une heure. Alors, nous sommes partis en direction de nos domiciles. Dans la voiture mon Maître me questionne.

    -      Alors, qu’en penses-tu de notre weekend, tu as été heureuse ?

    -      Oui Maître, j’ai été épanoui, en extase, pendant les deux jours passés avec vous.

    -      Je t’ai fait une dernière surprise, regarde dans la poche de ma veste. Tu trouveras un écrin. 

    Je regarde dans la poche, je ressors une petite boite. Je l’ouvre. Je vois une bague, en argent, où est inscrite la mention « je suis esclave ». Il s’arrête sur le bord de la route pour me la mettre au doigt. En me la mettant, il prononce ses paroles :

    -      Maintenant, tu m’appartiens corps et âme. Je fais de toi, ce que je veux. J’ai tous les droits sur toi. Donc, tu garderas ton collier au cou. 

    -      Merci Maître.

    -   Je te rends ton portable, maintenant.

    Nous reprenons notre chemin. Dès notre arrivée sur le parking, où j’ai laissé ma voiture, mon Maître m’embrasse longuement sur la bouche. J’aimerai stopper le temps pour ne pas le quitter. Dès que je monte dans mon véhicule, je le vois s’éloigner. 

     

                         La suite dans quelques semaines...... 

     

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